Partage de réflexions pour nourrir l'action
Texte publié sur ByUS Media. Comment interpréter l’hypothèse d’une possible sur-exposition des populations afros en Europe au Covid-19 ? Quelles critiques apporter aux discours tenus par les médecins et élus européens sur les Africains en Europe et sur l’Afrique ? Comment réagir en évitant un énième buzz sans aucune finalité ?
Sur ce que la gestion du coronavirus nous dit de l’État, de sa capacité à se renforcer précisément lorsqu’il pourrait vaciller.
A propos de la visite officielle du premier ministre canadien Trudeau au Sénégal, de son échange avec Macky Sall au sujet de l’homosexualité, et des politiques de prédation que cache cette enfumage.
L’objectif de ce texte est de de présenter un type d’engagement caribéen dans le panafricanisme qui, contrairement à ce que voudraient certaines caricatures, n’a rien d’une posture identitaire passéiste fantasmant une Afrique ancestrale perdue. Au contraire, il s’agit d’une position politique proposant, à partir d’une analyse de la situation néocoloniale présente, une solution d’avenir.
Enjeu de contrôle pour les colonialistes d’autrefois comme d’aujourd’hui, la famille est un thème à investir. Ce premier texte soutient alors la pertinence des revendications politiques afros en tant que « pères », « mères », ou « enfants de ». Un texte ultérieur réfléchira un peu plus en détail à ce que peut être une politique panafricaniste sur la famille.
Depuis à peu près un an maintenant, j’ai été amené à me questionner sur certains des énoncés politiques généraux que j’utilisais comme beaucoup d’autres, tels que « lutter pour l’émancipation des noirs », « décoloniser la République/le monde », etc. Ce texte est le résultat de cette longue autocritique.
A propos de 2 scandales sanitaires causés par des occidentaux empoisonnant des ougandais pr les « soigner ». Ceci pose la question de la souveraineté africaine : quelles solutions peut apporter le panafricanisme contre ces fléaux?
Dans cette vidéo j’insiste sur l’idée suivante : les nombreuses polémiques en occident suite à des discours racistes de personnalités publiques doivent être rattachées à la question plus large de l’exploitation de l’Afrique, et donc posent la question de sa souveraineté (continentale et diasporique) à conquérir.
Les propos de Christine Angot lors de l’émission On n’est pas couché ce samedi 1er juin sur la « différence fondamentale » entre shoah et esclavage industriel pratiqué par les européens contre les populations africaines, ont pour la finalité la justification de l’ordre du monde : l’exploitation sans limite de l’Afrique et des Africains.
Est-il souhaitable, en contexte néocolonial, que le colon puisse officier les cérémonies commémorant le crime qu’il a commis, et qu’il poursuit à l’heure actuelle sous d’autres formes ?
Le blog de Joao 
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